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GeoBusiness: qui paie(ra) pour quoi ?

| 21 septembre 2017

Catégorie:

Quand :
21 novembre 2017 @ 1:30 – 6:00
2017-11-21T13:30:00+01:00
2017-11-21T18:00:00+01:00
Où :
Liège (Belgique)
Issep
Contact :

Qu’elles soient publiques ou privées, les données géographiques sont maintenant de plus en plus souvent accessibles librement et gratuites. Le 12 juillet dernier, le Gouvernement Wallon a adopté le décret relatif à la réutilisation des informations du secteur public, visant à l’établissement d’une politique de données ouvertes (« Open Data »). Prenons pour exemple les données satellitaires SENTINEL de COPERNICUS, qui sont accessibles gratuitement pour tous et pour tous usages. Un autre exemple, OpenStreetMap, projet collaboratif initié en 2004, offre gratuitement une base de données géographiques mondiale très complète et de qualité.

 

La valeur des géodonnées n’a cependant jamais été aussi importante, que ce soit pour augmenter l’efficacité des administrations publiques, générer croissance économique du secteur privé ou accélérer la création d’emplois , mais de manière générale, elle accompagne le bien-être social au sens large.

La chaîne de valeur change et de nouveaux « business models » apparaissent. Les données sont gratuites et accessibles par téléchargement ou au travers d’applications ou de services en ligne, parfois payants.

Les GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon) vont plus loin encore. Outre, l’information géographique qu’ils proposent gratuitement, ils apportent également des services et applications jusqu’à un certain point gratuites. Pour preuves, Google Maps, Google Earth, StreetView, … et les nombreuses applications utilisant la géolocalisation. Le retour sur investissement consiste alors à exploiter l’identité digitale des utilisateurs s’étant connectés à ces applications afin de bénéficier gratuitement des informations et services géographiques exposés par les GAFA.

 

Le GeoBusiness évolue donc de manière importante et crée de nouvelles opportunités. Il est important et urgent de s’y adapter, notamment en considérant cette nouvelle économie des géodonnées.

Nous ferons, lors de ce séminaire, une analogie entre cette évolution et ce qui s’est passé dans le monde des logiciels lors de l’apparition de l’open source. Nous verrons comment les producteurs de données géographiques traditionnels, comme les agences de cartographie nationales, envisagent de nouveaux business modèles rentables et quelles sont les opportunités offertes par COPERNICUS pour les professionnels de la GeoInformation. Des experts nous expliquerons ces nouveaux business models et nous espérons pouvoir apporter une réflexion stratégique quant aux solutions disponibles pour une transition nécessaire de nos activités vers un business toujours rentable.

 

Nous ferons, lors de ce séminaire, une analogie entre cette évolution et ce qui s’est passé dans le monde des logiciels lors de l’apparition de l’open source. Nous verrons comment les producteurs de données géographiques traditionnels, comme les agences de cartographie nationales, envisagent de nouveaux business modèles rentables et quelles sont les opportunités offertes par COPERNICUS pour les professionnels de la GeoInformation. Des experts nous expliquerons ces nouveaux business models et nous espérons pouvoir apporter une réflexion stratégique quant aux solutions disponibles pour une transition nécessaire de nos activités vers un business toujours rentable.

 

C’est sur ce thème qu’AM/FM-GIS BELUX organise un séminaire le mardi 21 novembre après-midi chez l’Issep à Liège :  « GeoBusiness : Qui paie(ra) pour quoi ? »

 

Notez d’ores et déjà la date dans votre agenda.

Au plaisir de vous y revoir nombreux.

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