Les généalogistes aussi ont besoin de cartographie numérique
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Quand un généalogiste rencontre un généalogiste, ils parlent de… Géoportail, OpenStreetMap, Google Maps et autres. Mi-décembre, le site Geneanet avait organisé son dernier « meet-up » de l’année sur ce thème et a accueilli une trentaine d’amateurs. « La carte est très importante pour comprendre l’histoire d’une famille, explique Jérôme Galichon, responsable innovation chez Geneanet. Souvent, on retrouve les actes de naissance mais les actes de décès manquent quand les familles ont bougé. Une simple recherche dans les communes à proximité est souvent la solution. La carte permet de comprendre qu’un ancêtre se déplaçant le long d’un fleuve était sans doute un batelier, elle nous aide à débloquer certaines recherches. De plus, elle donne à voir le parcours d’une famille, bien plus parlant qu’une liste de noms. » Alors les amateurs jonglent entre les services de cartographie en ligne, les dictionnaires de toponymes et les cartes anciennes. Si le Géoportail est une ressource importante, il n’est pas suffisant. La carte de Cassini est de meilleure qualité à la BNF, ce qui permet de mieux repérer les toponymes anciens. Là encore, l’outil idéal n’existe pas.
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