Revue de presse du 18 au 25 février 2020
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L’Europe veut dicter ses règles en matière de données industrielles et d’IA (un métier boudé par les femmes), pendant que la Belgique veut obliger Google à flouter certaines images et que des Canadiens traquent le Coronavirus avec des geodata. La Croix nous rappelle la dimension politique de la carte. Bonne lecture !
ÉPIDÉMIE : « Au Canada, une startup traque le coronavirus grâce à l’intelligence artificielle ». Fondée par un épidémiologiste, BlueDot intègre des geodata dans ses algorithmes apprend-on sur French Web.
GÉOPOLITIQUE : « La carte géographique, un outil politique plus que scientifique » : un article de La Croix qui revient sur les conflits de représentation des territoires sur les cartes.
EUROPE DES DONNÉES : « Après sa défaite sur les données personnelles, l’UE s’engage dans la bataille des données industrielles » mais le parcours sera semé d’embûches, analyse L’Usine Digitale qui interroge l’avocat Étienne Drouard, qui se demande (entre autres) : « Une même information issue de votre téléphone peut-elle être à la fois une donnée personnelle et une donnée industrielle ?« . Pas de doute, un sujet qui concerne les geodata !
PROTECTION : « La Belgique veut flouter certains sites sensibles sur Google Maps ». Une loi est en préparation pour obliger à Google flouter les centrales nucléaires et sites Seveso, explique RTL INFO.
MÉTIERS : « Pas besoin d’intelligence artificielle pour savoir pourquoi les femmes ne veulent pas travailler dans l’IA » rapporte l’Usine Digitale. Les femmes voient le métier de data scientist comme fumeux, peu concret, plein de « nerds » et de compétition. Avec une touche de géo, est-ce mieux ?